Zapeando nesse final de sábado chuvoso e gripado, parei um instante na TVE, atraído por uma Beth Carvalho jovem e saltitante, cantando "você marcou com traição a quem sempre lhe deu a mão". Irresistível. Acabada a música, os dois apresentadores dizem que vão terminar o programa com uma jovem cantora natural de Havana, que passou alguns anos em Cabo Verde e depois foi acumulando experiências em diversos países, como Senegal, Angola, França e Alemanha. Foi então que conheci, poucos minutos atrás, a fantástica Mayra Andrade, e logo fui cutucar no Youtube. Eu tinha me prometido não entrar com novidade no blog para que os dossiers ficassem em destaque no alto do site, mas não consigo resistir à tentação de compartilhar com vocês esse achado.
.
Seguem abaixo duas músicas interpretadas por Mayra em um francês impecável (letras nos comentários) e uma terceira em algo que deve ser uma mistura de português e alguma língua africana. Não entendi quase nada, mas a música é linda. Não é simplesmente português com sotaque porque ela canta nosso clássico Felicidade ("tristeza não tem fim... felicidade, sim") de modo absolutamente nítido e nada estrangeiro, como você vai poder conferir se procurar.
MON CARROUSEL
ResponderExcluirSans un seul mot la tendresse s'en va
Et plus rien ne sonne comme avant
Coloriant mon âme de gris
Je m'éloigne vers d'autres rives
Où l'hymne à l'amour retentit
Mon Carrousel
L'amour fait tourner ma vie
Et sans elle
Je suis face au temps qui passe
Sans amour
Le sac se vide de rêves
Tour à tour encore une fois
Un beau jour et l'étoile de ton regard
Inonde mon cœur de sa lumière
Je chante d'une voix nouvelle
Je me plonge dans le vide
Si libre
Et la vie me sourit
Refrain :
Mon Carrousel
L'amour fait tourner ma vie
Et m'entraîne
Dans la folie de l'espoir
Chant d'amour
Fleuve d'émotion qui emporte
Mon coeur
Encore une fois
Tendresse, fleur de ma vie
Printemps d'ivresse
souffle d'un son qui ouvre mes ailes
Dans le ciel de tes yeux
Instant de rêve
Au refrain
Tendresse, fleur de ma vie
Printemps d'ivresse
souffle d'un son qui ouvre mes ailes
Dans le ciel de tes yeux
Instant de rêve
Mon Carrousel
L'amour fait tourner ma vie
COMME S'IL EN PLEUVAIT
ResponderExcluirMots doux et billets de rigueur, intrigues enflammées
Comme s’il en pleuvait
Devant ma porte prétendants et jeunes premiers
Comme s’il en pleuvait
Nuées de diamants, poèmes posés sur mon chevet
Comme s’il en pleuvait
Des soupirants et des atours
Comme s’il en pleuvait
De l’amour
Comme s’il en pleuvait
À toi qui me vois, mignonne,
Mains tendues, genoux fangeux
Ne prends pas garde à ma mise
Et sur l’heure jouons franc-jeu
Jadis ici j’étais reine
Et les yeux de ces messieurs
Sur mon aimable personne
Se perdaient cela t’étonne ?
Roses trémières et jolis cœurs les soirs de première
Comme s’il en pleuvait
Nuées de diamants, poèmes posés sur mon chevet
Comme s’il en pleuvait
Des soupirants et des atours à en décéder si tu savais
Comme s’il en pleuvait
Des présents chaque jour
Comme s’il en pleuvait
De l’amour
Comme s’il en pleuvait
Le désir, l’ivresse, la lune
Mignonne tout m’était dû
Par un revers de fortune
Voilà que j’ai tout perdu
De mémoire d’Homme ou d’Apôtre
Qui saurait dire à présent
Que naguère comme nulle autre
Je fascinais le tout venant ?
Mots doux et billets de rigueur, intrigues enflammées
Comme s’il en pleuvait
Devant ma porte, prétendants et jeunes premiers
Comme s’il en pleuvait
Des soupirants et des atours à en décéder si tu savais
Comme s’il en pleuvait
Des présents chaque jour, plus que dix doigts n’en sauraient compter
La providence et la jeunesse ne durent jamais
Ça je l’ai appris à mes dépens
Donne à présent de quoi manger mignonne
Gagne ton ciel et me sois bonne
Ma jouvencelle, ma mignonne
Comme s’il en pleuvait
Devant ma porte, prétendants et jeunes premiers
Comme s’il en pleuvait
Roses trémières et jolis cœurs les soirs de première
Comme s’il en pleuvait
Nuées de diamants, poèmes posés sur mon chevet
Comme s’il en pleuvait
Des soupirants et des atours à en décéder si tu savais
Comme s’il en pleuvait
Des présents chaque jour plus que dix doigts n’en sauraient compter