Tu dérives Quelle insolence Moi qui pensais qu’ ça n’arriverait jamais Il suffit d’une seule fois Une malchance, une imprudence Une fausse note et la vie s’en va
Tu dors, émue, face au soleil, lascive Docile comme toujours Tu dors, émue, face au soleil, lascive Docile, la seule femme du radeau de l’amour
Sous le choc Assis là, sur le sol Je la regarde partir S’éloigner à l’horizontale Ce récif, ce missile qui s’immisce Là dans sa vie Comme laminée face à ça Une fausse note et la vie s’en va
Tu dors, émue, face au soleil, lascive Docile comme toujours Tu dors, émue, face au soleil, lascive Docile, la seule femme du radeau de l’amour
Le radeau de l’amour
Tu dors, émue, face au soleil, Lascive Docile comme toujours Tu dors, émue, face au soleil, lascive Docile, la seule femme du radeau de l’amour
LE RADEAU
ResponderExcluir(Mathieu Chedid)
Tu dérives
Quelle insolence
Moi qui pensais qu’ ça n’arriverait jamais
Il suffit d’une seule fois
Une malchance, une imprudence
Une fausse note et la vie s’en va
Tu dors, émue, face au soleil, lascive
Docile comme toujours
Tu dors, émue, face au soleil, lascive
Docile, la seule femme du radeau de l’amour
Sous le choc
Assis là, sur le sol
Je la regarde partir
S’éloigner à l’horizontale
Ce récif, ce missile qui s’immisce
Là dans sa vie
Comme laminée face à ça
Une fausse note et la vie s’en va
Tu dors, émue, face au soleil, lascive
Docile comme toujours
Tu dors, émue, face au soleil, lascive
Docile, la seule femme du radeau de l’amour
Le radeau de l’amour
Tu dors, émue, face au soleil, Lascive
Docile comme toujours
Tu dors, émue, face au soleil, lascive
Docile, la seule femme du radeau de l’amour